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TAILLE Camille

(AIHP 1995) Service de Pneumologie et Centre de Compétence pour les maladies pulmonaires rares, Hôpital Bichat, Paris

(AIHP 1995)

Service de Pneumologie et Centre de Compétence pour les maladies pulmonaires rares
Hôpital Bichat
Paris

Contributions de l'auteur

L'asthme sévère à l'ère des thérapies ciblées

Publié le 01/03/2018

L'asthme touche près de 7 % de la population adulte en France. Si la plupart de ces patients devraient pouvoir être contrôlés par les traitements inhalés disponibles (corticoïdes avec ou sans bronchodilatateurs de longue durée d'action), il reste une petite proportion de patients asthmatiques, considérés comme sévères, dont la maladie n'est pas contrôlée par ces traitements, même donnés à forte dose. Ces malades sévères représenteraient 3 à 10 % des asthmatiques adultes.

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Avancées thérapeutiques dans la prise en charge de l'asthme

Publié le 17/07/2015

L'asthme touche près de 7 % de la population adulte en France. Sa prise en charge a considérablement évolué au cours de 20 dernières années, comme en témoigne la chute drastique du nombre d'hospitalisations chez les adultes mais surtout de la mortalité par asthme...

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Avancées thérapeutiques dans la prise en charge de l'asthme

Publié le 01/03/2012

L'asthme touche près de 7 % de la population adulte en France. Sa prise en charge a considérablement évolué au cours de 20 dernières années, comme en témoigne la chute drastique du nombre d'hospitalisations chez les adultes mais surtout de la mortalité par asthme, divisée par deux. Malgré ces progrès, on compte encore près de 1000 morts par an par asthme, dont on considère que plus de 90% seraient évitables. De façon paradoxale, si l'arsenal thérapeutique s'est élargi, on considère que près de 60% des asthmatiques en France ont un contrôle insuffisant de leur asthme, ce qui laisse penser que l'information des médecins et l'éducation des patients pourraient encore être améliorées. Enfin, pour les 10% d'asthmatiques sévères, handicapés dans leur vie quotidienne, souvent dépendants de la corticothérapie orale, hospitalisés fréquemment pour des exacerbations, on attend beaucoup des biothérapies en cours de développement.

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