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Oncologie

Par: Jacques CADRANEL, AIHP 1983 - PU-PH

L’immunothérapie en oncologie thoracique

Publié le : 01/06/2022

L’objectif de cet article est de faire un panorama de l’utilisation de l’immunothérapie en oncologie thoracique, basé sur la médecine fondée sur les preuves, les recommandations de prise en charge thérapeutiques et l’accès aux molécules en France dans le cadre réglementaire de l’AMM et de leur remboursement. Les possibilités de sélection par les biomarqueurs et les innovations thérapeutiques en cours seront évoquées 

Innovations et nouveaux concepts en oncologie médicale

Publié le : 01/06/2022

L’innovation est l’un des atouts majeurs de l’oncologie. Mais au-delà des nouveaux traitements, le progrès englobe bien d’autres notions, tant technologiques que stratégiques qui transforme tout autant la spécialité que le font les médicaments. Nous évoquerons plusieurs concepts novateurs concernant la pratique de l’oncologie, en discutant leur impact actuel et à venir sur la spécialité.

Par: Florence HUGUET, AIHP 1999

Innovations et nouveaux concepts en Oncologie Radiothérapie

Publié le : 01/06/2022

La radiothérapie joue un rôle majeur dans le traitement du cancer, avec la chirurgie, la chimiothérapie et les traitements systémiques. Ces vingt dernières années, la radiothérapie a vécu une véritable révolution technologique permettant à la fois d’augmenter son efficacité et d’améliorer la tolérance.

Par: Bénédicte DURAND, AIHP 2013

Innovations et nouveaux concepts en Oncologie Radiothérapie

Publié le : 01/06/2022

La radiothérapie joue un rôle majeur dans le traitement du cancer, avec la chirurgie, la chimiothérapie et les traitements systémiques. Ces vingt dernières années, la radiothérapie a vécu une véritable révolution technologique permettant à la fois d’augmenter son efficacité et d’améliorer la tolérance.

Innovations et nouveaux concepts en Oncologie Radiothérapie

Publié le : 01/06/2022

La radiothérapie joue un rôle majeur dans le traitement du cancer, avec la chirurgie, la chimiothérapie et les traitements systémiques. Ces vingt dernières années, la radiothérapie a vécu une véritable révolution technologique permettant à la fois d’augmenter son efficacité et d’améliorer la tolérance.

Innovations et nouveaux concepts en Oncologie Radiothérapie

Publié le : 01/06/2022

La radiothérapie joue un rôle majeur dans le traitement du cancer, avec la chirurgie, la chimiothérapie et les traitements systémiques. Ces vingt dernières années, la radiothérapie a vécu une véritable révolution technologique permettant à la fois d’augmenter son efficacité et d’améliorer la tolérance.

Innovations et nouveaux concepts en Oncologie Radiothérapie

Publié le : 01/06/2022

La radiothérapie joue un rôle majeur dans le traitement du cancer, avec la chirurgie, la chimiothérapie et les traitements systémiques. Ces vingt dernières années, la radiothérapie a vécu une véritable révolution technologique permettant à la fois d’augmenter son efficacité et d’améliorer la tolérance.

Innovations et nouveaux concepts en Oncologie Radiothérapie

Publié le : 01/06/2022

La radiothérapie joue un rôle majeur dans le traitement du cancer, avec la chirurgie, la chimiothérapie et les traitements systémiques. Ces vingt dernières années, la radiothérapie a vécu une véritable révolution technologique permettant à la fois d’augmenter son efficacité et d’améliorer la tolérance.

Onco-gériatrie : une prise en soin collaborative et pluridisciplinaire des patients âgés atteints de cancer.

Publié le : 01/06/2022

En France comme en Europe ou dans l’ensemble des pays industrialisés, les données épidémiologiques constatent le vieillissement continu de la population depuis plusieurs décennies. Parallèlement, l'incidence des pathologies cancéreuses quelles qu'elles soient est 11 fois supérieure après 65 ans par rapport aux sujets plus jeunes. Ainsi, en France et en Europe, plus de la moitié des cancers sont diagnostiqués après l'âge de 70 ans, et plus de 70 % des décès par cancer surviennent après 65 ans. En France, le cancer est devenu la première cause de décès devant les causes cardiovasculaires dans la tranche d'âge de 65-79 ans.

Onco-gériatrie : une prise en soin collaborative et pluridisciplinaire des patients âgés atteints de cancer.

Publié le : 01/06/2022

En France comme en Europe ou dans l’ensemble des pays industrialisés, les données épidémiologiques constatent le vieillissement continu de la population depuis plusieurs décennies. Parallèlement, l'incidence des pathologies cancéreuses quelles qu'elles soient est 11 fois supérieure après 65 ans par rapport aux sujets plus jeunes. Ainsi, en France et en Europe, plus de la moitié des cancers sont diagnostiqués après l'âge de 70 ans, et plus de 70 % des décès par cancer surviennent après 65 ans. En France, le cancer est devenu la première cause de décès devant les causes cardiovasculaires dans la tranche d'âge de 65-79 ans.

Par: Laurent ZELEK, AIHP 1992 - PU-PH

Les nouvelles molécules : La place de la chimiothérapie

Publié le : 01/06/2022

Il peut sembler paradoxal de consacrer un chapitre à la chimiothérapie dans les tumeurs solides car les dernières avancées thérapeutiques majeures ont été réalisées il y a de longues années. Récemment, les efforts de recherche se sont essentiellement dirigés vers les thérapeutiques ciblées et plus récemment vers l’immunothérapie avec des succès majeurs dans des localisations tumorales où l’espérance de vie était très limitée, en témoignent par exemple les résultats observés dans les mélanomes ou les cancers broncho-pulmonaires.

Formation Spécialisée Transversale (FST) de cancérologie (déclinaison cancérologie de l'adulte) : vers un projet professionnel personnalisé robuste au service des patients

Publié le : 16/09/2020

Édito Forum des Spécialités Oncologie 2020
La réforme du 3e cycle a été mise en place dans un esprit de progrès pour répondre au mieux aux besoins de santé territoriale, assurer une modernisation des formations et simplifier le dispositif en faisant disparaître les DESC et en aboutissant à la filiarisation des 44 spécialités. Cette réforme permet de donner la possibilité à tout étudiant quelle que soit sa spécialité, de suivre une formation spécialisée transversale (FST) qui constitue une option commune à plusieurs spécialités et ouvre droit à un exercice complémentaire d’une «sur-spécialité».

Par: Eurydice EURYDICE, AIHP 2014

Les nouvelles molécules : La place de la chimiothérapie

Publié le : 01/06/2022

Il peut sembler paradoxal de consacrer un chapitre à la chimiothérapie dans les tumeurs solides car les dernières avancées thérapeutiques majeures ont été réalisées il y a de longues années. Récemment, les efforts de recherche se sont essentiellement dirigés vers les thérapeutiques ciblées et plus récemment vers l’immunothérapie avec des succès majeurs dans des localisations tumorales où l’espérance de vie était très limitée, en témoignent par exemple les résultats observés dans les mélanomes ou les cancers broncho-pulmonaires.

Nouvelles hormonothérapies en oncologie

Publié le : 01/06/2022

L’hormonothérapie est une option thérapeutique particulièrement utilisée dans le cancer du sein et le cancer de la prostate. C’est dans ces deux domaines que de nouvelles hormonothérapies ont été développées avec un questionnement constant sur leur positionnement dans la stratégie thérapeutique. Dans cette revue, nous décrivons la place de ces nouvelles hormonothérapies dans la prise en charge du cancer du sein et de la prostate.

Nouvelles hormonothérapies en oncologie

Publié le : 01/06/2022

L’hormonothérapie est une option thérapeutique particulièrement utilisée dans le cancer du sein et le cancer de la prostate. C’est dans ces deux domaines que de nouvelles hormonothérapies ont été développées avec un questionnement constant sur leur positionnement dans la stratégie thérapeutique. Dans cette revue, nous décrivons la place de ces nouvelles hormonothérapies dans la prise en charge du cancer du sein et de la prostate.

Par: Stéphane CULINE, AIHP 1993 - PU-PH

Nouvelles hormonothérapies en oncologie

Publié le : 01/06/2022

L’hormonothérapie est une option thérapeutique particulièrement utilisée dans le cancer du sein et le cancer de la prostate. C’est dans ces deux domaines que de nouvelles hormonothérapies ont été développées avec un questionnement constant sur leur positionnement dans la stratégie thérapeutique. Dans cette revue, nous décrivons la place de ces nouvelles hormonothérapies dans la prise en charge du cancer du sein et de la prostate.

Par: Thierry ANDRé, AIHP 1988 -PU-PH

Immunothérapie dans les cancers colorectaux MSI : Un changement de paradigme !

Publié le : 01/06/2022

L’immunothérapie, par inhibiteurs de point de contrôle immunitaires (ICI), est en train de révolutionner la prise en charge des patients atteints de cancer colo-rectaux avec statut microsatellaire instable (MSI). 

Par: Constance THIBAULT, AIHP 2008

Up to date – Le cancer du rein

Publié le : 18/11/2021

Le carcinome rénal représente 5 % des cancers chez l’homme et 3 % chez la femme, se classant respectivement en 6e et 10e position des cancers les plus fréquents[1]. Les principaux facteurs de risque de cancer rénal sont l’âge, le sexe masculin, le tabac, l’obésité, l’hypertension artérielle, l’insuffisance rénale chronique terminale.

Par: Yann-Alexandre VANO, AIHP 2006

Up to date – Le cancer du rein

Publié le : 18/11/2021

Le carcinome rénal représente 5 % des cancers chez l’homme et 3 % chez la femme, se classant respectivement en 6e et 10e position des cancers les plus fréquents[1]. Les principaux facteurs de risque de cancer rénal sont l’âge, le sexe masculin, le tabac, l’obésité, l’hypertension artérielle, l’insuffisance rénale chronique terminale.

Par: Johanna NOEL,

Up to date – Le cancer du rein

Publié le : 18/11/2021

Le carcinome rénal représente 5 % des cancers chez l’homme et 3 % chez la femme, se classant respectivement en 6e et 10e position des cancers les plus fréquents[1]. Les principaux facteurs de risque de cancer rénal sont l’âge, le sexe masculin, le tabac, l’obésité, l’hypertension artérielle, l’insuffisance rénale chronique terminale.

Par: Stéphane OUDARD, AIHP 1988 - PU-PH

Up to date – Le cancer du rein

Publié le : 18/11/2021

Le carcinome rénal représente 5 % des cancers chez l’homme et 3 % chez la femme, se classant respectivement en 6e et 10e position des cancers les plus fréquents[1]. Les principaux facteurs de risque de cancer rénal sont l’âge, le sexe masculin, le tabac, l’obésité, l’hypertension artérielle, l’insuffisance rénale chronique terminale.

Up to date – Le cancer du sein

Publié le : 18/02/2021

Le cancer du sein est si fréquent que chacun d’entre nous a un proche ou une amie concerné. On estime à 58 459 le nombre de nouveaux cas de cancer du sein chez la femme en France en 20181. Le cancer du sein reste le cancer le plus fréquent chez la femme (malgré une croissance majeure du cancer du poumon pourtant évitable). Avec 12 146 décès estimés en 2018, le cancer du sein est au premier rang des décès par cancer chez la femme.

Par: Catherine UZAN, AIHP 1999 - PU-PH

Up to date – Le cancer du sein

Publié le : 18/02/2021

Le cancer du sein est si fréquent que chacun d’entre nous a un proche ou une amie concerné. On estime à 58 459 le nombre de nouveaux cas de cancer du sein chez la femme en France en 20181. Le cancer du sein reste le cancer le plus fréquent chez la femme (malgré une croissance majeure du cancer du poumon pourtant évitable). Avec 12 146 décès estimés en 2018, le cancer du sein est au premier rang des décès par cancer chez la femme.

Par: Nicolas MEILLAN, AIHP 2012 - CCA

Up to date – Le cancer du sein

Publié le : 18/02/2021

Le cancer du sein est si fréquent que chacun d’entre nous a un proche ou une amie concerné. On estime à 58 459 le nombre de nouveaux cas de cancer du sein chez la femme en France en 20181. Le cancer du sein reste le cancer le plus fréquent chez la femme (malgré une croissance majeure du cancer du poumon pourtant évitable). Avec 12 146 décès estimés en 2018, le cancer du sein est au premier rang des décès par cancer chez la femme.

Par: Patrick BENUSIGLIO, AIHP

Up to date – Le cancer du sein

Publié le : 18/02/2021

Le cancer du sein est si fréquent que chacun d’entre nous a un proche ou une amie concerné. On estime à 58 459 le nombre de nouveaux cas de cancer du sein chez la femme en France en 20181. Le cancer du sein reste le cancer le plus fréquent chez la femme (malgré une croissance majeure du cancer du poumon pourtant évitable). Avec 12 146 décès estimés en 2018, le cancer du sein est au premier rang des décès par cancer chez la femme.

Par: Olivier CUSSENOT, AIHP 1983 - PU-PH

Up to date – Le cancer de la prostate – actualités sur le cancer de la prostate métastatique

Publié le : 20/09/2020

Un peu plus de 8 200 patients décèdent par an du cancer de la prostate au stade de cancer de la prostate métastatique. La base du traitement hormonal du cancer de la prostate métastatique repose sur la castration, maintenant quasi exclusivement médicale (analogues de LHRH ou antagoniste de la LHRH) afin d’obtenir un taux de testostérone circulant en dessous de 0,5ng/ml. Ces patients ont encore aujourd’hui une survie globale médiane inférieure à 5 ans.

Par: Claire GALLOIS, AIHP 2012

Up to date – Oncologie digestive : cancer colorectal

Publié le : 20/09/2020

Selon les dernières estimations de GLOBOCAN 2018 dans le monde, le cancer colorectal (CCR) est la 3e cause de cancer en termes d’incidence après le cancer du poumon et le cancer du sein et représente la 2e cause de mortalité par cancer[1]. En France en 2018, la prévalence du CCR était de 136 513 patients, 47 025 nouveaux cas de CCR ont été diagnostiqués durant l’année, et 19 962 patients atteints d’un CCR sont décédés, représentant un problème majeur de santé publique[1]. L’âge moyen au diagnostic est 71 ans chez l’homme et 75 ans chez la femme.

Par: Céleste LEBBE, AIHP 1987 - PU-PH

Up to date – Les cancers de la peau

Publié le : 16/09/2020

Le mélanome représente 4 % de l’ensemble des cancers et 10 % des cancers cutanés. Aux stades précoces, il est de bon pronostique. Le taux de survie étant de 98 % à 5 ans. Néanmoins, il est redoutable aux stades plus tardifs et représente 90 % des cas de décès par cancer cutané. Son incidence en France est croissante depuis les années 1980 avec actuellement environ 15 000 nouveaux cas chaque année en France. La mortalité est globalement stable du fait d’un dépistage de la maladie à des stades plus précoces et de l’arrivée de traitements augmentant la survie des patients aux stades avancés

Par: Yazid BELKACEMI, PU-PH

Formation Spécialisée Transversale (FST) de cancérologie (déclinaison cancérologie de l'adulte) : vers un projet professionnel personnalisé robuste au service des patients

Publié le : 16/09/2020

Édito Forum des Spécialités Oncologie 2020
La réforme du 3e cycle a été mise en place dans un esprit de progrès pour répondre au mieux aux besoins de santé territoriale, assurer une modernisation des formations et simplifier le dispositif en faisant disparaître les DESC et en aboutissant à la filiarisation des 44 spécialités. Cette réforme permet de donner la possibilité à tout étudiant quelle que soit sa spécialité, de suivre une formation spécialisée transversale (FST) qui constitue une option commune à plusieurs spécialités et ouvre droit à un exercice complémentaire d’une «sur-spécialité».

Par: Barouyr BAROUDJIAN, AIHP 2006

Up to date – Les cancers de la peau

Publié le : 16/09/2020

Le mélanome représente 4 % de l’ensemble des cancers et 10 % des cancers cutanés. Aux stades précoces, il est de bon pronostique. Le taux de survie étant de 98 % à 5 ans. Néanmoins, il est redoutable aux stades plus tardifs et représente 90 % des cas de décès par cancer cutané. Son incidence en France est croissante depuis les années 1980 avec actuellement environ 15 000 nouveaux cas chaque année en France. La mortalité est globalement stable du fait d’un dépistage de la maladie à des stades plus précoces et de l’arrivée de traitements augmentant la survie des patients aux stades avancés

Par: Julie DELYON, AIHP 2009 - MCU-PH

Up to date – Les cancers de la peau

Publié le : 16/09/2020

Le mélanome représente 4 % de l’ensemble des cancers et 10 % des cancers cutanés. Aux stades précoces, il est de bon pronostique. Le taux de survie étant de 98 % à 5 ans. Néanmoins, il est redoutable aux stades plus tardifs et représente 90 % des cas de décès par cancer cutané. Son incidence en France est croissante depuis les années 1980 avec actuellement environ 15 000 nouveaux cas chaque année en France. La mortalité est globalement stable du fait d’un dépistage de la maladie à des stades plus précoces et de l’arrivée de traitements augmentant la survie des patients aux stades avancés

Up to date – Les cancers de la peau

Publié le : 16/09/2020

Le mélanome représente 4 % de l’ensemble des cancers et 10 % des cancers cutanés. Aux stades précoces, il est de bon pronostique. Le taux de survie étant de 98 % à 5 ans. Néanmoins, il est redoutable aux stades plus tardifs et représente 90 % des cas de décès par cancer cutané. Son incidence en France est croissante depuis les années 1980 avec actuellement environ 15 000 nouveaux cas chaque année en France. La mortalité est globalement stable du fait d’un dépistage de la maladie à des stades plus précoces et de l’arrivée de traitements augmentant la survie des patients aux stades avancés

Par: Charles NALTET, AIHP 2010

Up to date – Prise en charge du cander bronchique en 2020

Publié le : 16/09/2020

Le cancer bronchique est un problème de santé mondiale. En France, il a fait plus de 30 000 victimes en 2018[1]. Si le tabagisme est le principal facteur de risque de cancer bronchique, 10 à 15 % des patients sont non-fumeurs. Malgré de nombreuses révolutions thérapeutiques, le cancer bronchique garde un pronostic sombre lié au diagnostic tardif (figure 1)[2]. Le dépistage par scanner thoracique à faible irradiation chez les fumeurs semble donc une stratégie adaptée comme l’atteste le bénéfice en survie spécifique des essais NLST et NELSON [3,4].

Par: Benjamin BESSE, AIHP 1999 - PU-PH

Up to date – Prise en charge du cander bronchique en 2020

Publié le : 16/09/2020

Le cancer bronchique est un problème de santé mondiale. En France, il a fait plus de 30 000 victimes en 2018[1]. Si le tabagisme est le principal facteur de risque de cancer bronchique, 10 à 15 % des patients sont non-fumeurs. Malgré de nombreuses révolutions thérapeutiques, le cancer bronchique garde un pronostic sombre lié au diagnostic tardif (figure 1)[2]. Le dépistage par scanner thoracique à faible irradiation chez les fumeurs semble donc une stratégie adaptée comme l’atteste le bénéfice en survie spécifique des essais NLST et NELSON [3,4].

Par: Joseph GLIGOROV, PU-PH

Le Diplôme d'Études Spécialisées en Oncologie Médicale en Île-de-France

Publié le : 16/09/2020

Édito Forum des Spécialité Oncologie
J’imagine que ceux d’entre vous qui seront passés dans un service d’Oncologie Médicale ont déjà une opinion sur cette spécialité. Toutefois, pour tous ceux qui sont attirés par la prise en charge des cancers, il est important d’y voir un peu plus clair dans les filières de formation et comprendre l’importance de la spécialité d’Oncologie Médicale dans le paysage des formations diplomantes en cancérologie.

Par: Philippe GIRAUD, PU-PH

Une discipline en plein essor

Publié le : 16/09/2020

Édito Forum des Spécialités Oncologie 2020
Chaque année en France, 400 000 nouveaux patients sont pris en charge pour un cancer. Environ 180 000 patients sont traités par irradiation.