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Oncologie

Oncologie digestive : Cancer du rectum

Publié le : 20/07/2023

D’après les dernières observations du GLOBOCAN, en 2020 le cancer colorectal (CCR) est la 3e cause de cancer en termes d’incidence après le cancer du poumon et le cancer du sein et représente la 2e cause de mortalité par cancer[1]. En France en 2018, la prévalence du CCR était de 136 513 patients, 47 025 nouveaux cas de CCR ont été diagnostiqués durant l’année, et 19 962 patients atteints d’un CCR sont décédés, représentant un problème majeur de santé publique. L’âge moyen au diagnostic est 71 ans chez l’homme et 75 ans chez la femme. Environ 35 % des CCR sont des cancers du rectum (CR). L’incidence mondiale du CCR est en augmentation principalement les cancers du côlon gauche et les CR[2].

Par: Christophe TOURNIGAND, AIHP 1993 - PU-PH

L’oncologie : une discipline de l’innovation

Publié le : 20/07/2023

Avec plus de 430 000 nouveaux cas de cancer par an en France, les cancers ont une incidence en hausse, essentiellement liée à l’évolution démographique mais également à une augmentation du risque de cancer. Alors qu’on assiste plutôt à un contrôle de l’incidence chez les hommes pour les cancers de la prostate, du poumon ou les cancers colorectaux, on assiste à une augmentation d’incidence chez les femmes pour les cancers du poumon et les cancers du pancréas.

Cancers de primitif inconnu : l’apport de la médecine moléculaire

Publié le : 20/07/2023

Les cancers de primitif inconnu (CUP) sont des maladies au pronostic sombre du fait des difficultés associées à leur diagnostic et à leur traitement spécifique. Le développement récent des tests anatomopathologiques et de médecine moléculaire est cependant en train de bouleverser leur prise en charge. Une réunion de concertation pluridisciplinaire nationale, accessible pour tous les patients en France dès la suspicion diagnostique, a été mise en place depuis juin 2020 pour guider la stratégie diagnostique et orienter le traitement des CUP.

Par: Gérard ZALCMAN, AIHP 1987 - PU-PH

Actualités sur les Cancers Bronchiques Non à Petites Cellules (CBNPC)

Publié le : 20/07/2023

En France, le nombre de nouveaux cas de cancers broncho-pulmonaires primitifs (CBP) est estimé à 46 363, dont 31 231 nouveaux cas chez l’homme et 15 132 chez la femme. Il s’agit, chez l’homme, du 2e cancer le plus fréquent après le cancer de la prostate et de la première cause de mortalité par cancer (22 761 décès en 2018)1. Chez la femme, l’incidence du CBP et la mortalité associée sont en constante augmentation (10 356 décès par CBP en 2018)1. Ainsi chaque année ce sont plus de 30 000 décès liés au CBP qui sont observés1. Cependant, aux USA comme dans les autres pays industrialisés, le taux de décès par cancer du poumon baisse de 4,8 et 3,7 % par année chez les hommes et les femmes respectivement2.

Par: Catherine GUETTIER, AIHP 1979

Intelligence artificielle et Cancer

Publié le : 20/07/2023

Le cancer entraîne chaque année environ 10 millions de décès dans le monde, à l’origine d’une mort sur six, et ce nombre est amené à croître significativement dans le futur[1,2]. Enjeu majeur de santé publique, l’oncologie représente une spécialité médicale prometteuse pour le développement et l’application de techniques d’intelligence artificielle (IA).

Intelligence artificielle et Cancer

Publié le : 20/07/2023

Le cancer entraîne chaque année environ 10 millions de décès dans le monde, à l’origine d’une mort sur six, et ce nombre est amené à croître significativement dans le futur[1,2]. Enjeu majeur de santé publique, l’oncologie représente une spécialité médicale prometteuse pour le développement et l’application de techniques d’intelligence artificielle (IA).

Par: Emmanuelle KEMPF, AIHP 2010

Intelligence artificielle et Cancer

Publié le : 20/07/2023

Le cancer entraîne chaque année environ 10 millions de décès dans le monde, à l’origine d’une mort sur six, et ce nombre est amené à croître significativement dans le futur[1,2]. Enjeu majeur de santé publique, l’oncologie représente une spécialité médicale prometteuse pour le développement et l’application de techniques d’intelligence artificielle (IA).

Par: Romain COHEN, AIHP 2010

Oncologie digestive : Cancer du rectum

Publié le : 20/07/2023

D’après les dernières observations du GLOBOCAN, en 2020 le cancer colorectal (CCR) est la 3e cause de cancer en termes d’incidence après le cancer du poumon et le cancer du sein et représente la 2e cause de mortalité par cancer[1]. En France en 2018, la prévalence du CCR était de 136 513 patients, 47 025 nouveaux cas de CCR ont été diagnostiqués durant l’année, et 19 962 patients atteints d’un CCR sont décédés, représentant un problème majeur de santé publique. L’âge moyen au diagnostic est 71 ans chez l’homme et 75 ans chez la femme. Environ 35 % des CCR sont des cancers du rectum (CR). L’incidence mondiale du CCR est en augmentation principalement les cancers du côlon gauche et les CR[2].

Les cancers des voies biliaires

Publié le : 20/07/2023

Les cancers des voies biliaires sont un groupe hétérogène de tumeurs, rares, au pronostic sombre. Leur prise en charge a longtemps reposé uniquement sur la chirurgie, la chimiothérapie et les soins de support (drainage biliaire). Récemment, une meilleure caractérisation de ces tumeurs sur le plan moléculaire a permis le développement de nouvelles stratégies thérapeutiques. L’immunothérapie et les thérapies ciblées ont maintenant leur place en routine dans la prise en charge de ces tumeurs. Malgré ces avancées, de nombreux challenges thérapeutiques et organisationnels restent à surmonter.

Par: Sarah WATSON , AIHP 2009

Cancers de primitif inconnu : l’apport de la médecine moléculaire

Publié le : 20/07/2023

Les cancers de primitif inconnu (CUP) sont des maladies au pronostic sombre du fait des difficultés associées à leur diagnostic et à leur traitement spécifique. Le développement récent des tests anatomopathologiques et de médecine moléculaire est cependant en train de bouleverser leur prise en charge. Une réunion de concertation pluridisciplinaire nationale, accessible pour tous les patients en France dès la suspicion diagnostique, a été mise en place depuis juin 2020 pour guider la stratégie diagnostique et orienter le traitement des CUP.

Cancers de primitif inconnu : l’apport de la médecine moléculaire

Publié le : 20/07/2023

Les cancers de primitif inconnu (CUP) sont des maladies au pronostic sombre du fait des difficultés associées à leur diagnostic et à leur traitement spécifique. Le développement récent des tests anatomopathologiques et de médecine moléculaire est cependant en train de bouleverser leur prise en charge. Une réunion de concertation pluridisciplinaire nationale, accessible pour tous les patients en France dès la suspicion diagnostique, a été mise en place depuis juin 2020 pour guider la stratégie diagnostique et orienter le traitement des CUP.

Cancers de primitif inconnu : l’apport de la médecine moléculaire

Publié le : 20/07/2023

Les cancers de primitif inconnu (CUP) sont des maladies au pronostic sombre du fait des difficultés associées à leur diagnostic et à leur traitement spécifique. Le développement récent des tests anatomopathologiques et de médecine moléculaire est cependant en train de bouleverser leur prise en charge. Une réunion de concertation pluridisciplinaire nationale, accessible pour tous les patients en France dès la suspicion diagnostique, a été mise en place depuis juin 2020 pour guider la stratégie diagnostique et orienter le traitement des CUP.

Par: Maud KAMAL,

Cancers de primitif inconnu : l’apport de la médecine moléculaire

Publié le : 20/07/2023

Les cancers de primitif inconnu (CUP) sont des maladies au pronostic sombre du fait des difficultés associées à leur diagnostic et à leur traitement spécifique. Le développement récent des tests anatomopathologiques et de médecine moléculaire est cependant en train de bouleverser leur prise en charge. Une réunion de concertation pluridisciplinaire nationale, accessible pour tous les patients en France dès la suspicion diagnostique, a été mise en place depuis juin 2020 pour guider la stratégie diagnostique et orienter le traitement des CUP.

Par: Cindy NEUZILLET, AIHP 2008

Les cancers des voies biliaires

Publié le : 20/07/2023

Les cancers des voies biliaires sont un groupe hétérogène de tumeurs, rares, au pronostic sombre. Leur prise en charge a longtemps reposé uniquement sur la chirurgie, la chimiothérapie et les soins de support (drainage biliaire). Récemment, une meilleure caractérisation de ces tumeurs sur le plan moléculaire a permis le développement de nouvelles stratégies thérapeutiques. L’immunothérapie et les thérapies ciblées ont maintenant leur place en routine dans la prise en charge de ces tumeurs. Malgré ces avancées, de nombreux challenges thérapeutiques et organisationnels restent à surmonter.

Innovations et nouveaux concepts en Oncologie Radiothérapie

Publié le : 01/06/2022

La radiothérapie joue un rôle majeur dans le traitement du cancer, avec la chirurgie, la chimiothérapie et les traitements systémiques. Ces vingt dernières années, la radiothérapie a vécu une véritable révolution technologique permettant à la fois d’augmenter son efficacité et d’améliorer la tolérance.

Innovations et nouveaux concepts en Oncologie Radiothérapie

Publié le : 01/06/2022

La radiothérapie joue un rôle majeur dans le traitement du cancer, avec la chirurgie, la chimiothérapie et les traitements systémiques. Ces vingt dernières années, la radiothérapie a vécu une véritable révolution technologique permettant à la fois d’augmenter son efficacité et d’améliorer la tolérance.

Onco-gériatrie : une prise en soin collaborative et pluridisciplinaire des patients âgés atteints de cancer.

Publié le : 01/06/2022

En France comme en Europe ou dans l’ensemble des pays industrialisés, les données épidémiologiques constatent le vieillissement continu de la population depuis plusieurs décennies. Parallèlement, l'incidence des pathologies cancéreuses quelles qu'elles soient est 11 fois supérieure après 65 ans par rapport aux sujets plus jeunes. Ainsi, en France et en Europe, plus de la moitié des cancers sont diagnostiqués après l'âge de 70 ans, et plus de 70 % des décès par cancer surviennent après 65 ans. En France, le cancer est devenu la première cause de décès devant les causes cardiovasculaires dans la tranche d'âge de 65-79 ans.

Innovations et nouveaux concepts en Oncologie Radiothérapie

Publié le : 01/06/2022

La radiothérapie joue un rôle majeur dans le traitement du cancer, avec la chirurgie, la chimiothérapie et les traitements systémiques. Ces vingt dernières années, la radiothérapie a vécu une véritable révolution technologique permettant à la fois d’augmenter son efficacité et d’améliorer la tolérance.

Nouvelles hormonothérapies en oncologie

Publié le : 01/06/2022

L’hormonothérapie est une option thérapeutique particulièrement utilisée dans le cancer du sein et le cancer de la prostate. C’est dans ces deux domaines que de nouvelles hormonothérapies ont été développées avec un questionnement constant sur leur positionnement dans la stratégie thérapeutique. Dans cette revue, nous décrivons la place de ces nouvelles hormonothérapies dans la prise en charge du cancer du sein et de la prostate.

Onco-gériatrie : une prise en soin collaborative et pluridisciplinaire des patients âgés atteints de cancer.

Publié le : 01/06/2022

En France comme en Europe ou dans l’ensemble des pays industrialisés, les données épidémiologiques constatent le vieillissement continu de la population depuis plusieurs décennies. Parallèlement, l'incidence des pathologies cancéreuses quelles qu'elles soient est 11 fois supérieure après 65 ans par rapport aux sujets plus jeunes. Ainsi, en France et en Europe, plus de la moitié des cancers sont diagnostiqués après l'âge de 70 ans, et plus de 70 % des décès par cancer surviennent après 65 ans. En France, le cancer est devenu la première cause de décès devant les causes cardiovasculaires dans la tranche d'âge de 65-79 ans.

Nouvelles hormonothérapies en oncologie

Publié le : 01/06/2022

L’hormonothérapie est une option thérapeutique particulièrement utilisée dans le cancer du sein et le cancer de la prostate. C’est dans ces deux domaines que de nouvelles hormonothérapies ont été développées avec un questionnement constant sur leur positionnement dans la stratégie thérapeutique. Dans cette revue, nous décrivons la place de ces nouvelles hormonothérapies dans la prise en charge du cancer du sein et de la prostate.

Par: Laurent ZELEK, AIHP 1992 - PU-PH

Les nouvelles molécules : La place de la chimiothérapie

Publié le : 01/06/2022

Il peut sembler paradoxal de consacrer un chapitre à la chimiothérapie dans les tumeurs solides car les dernières avancées thérapeutiques majeures ont été réalisées il y a de longues années. Récemment, les efforts de recherche se sont essentiellement dirigés vers les thérapeutiques ciblées et plus récemment vers l’immunothérapie avec des succès majeurs dans des localisations tumorales où l’espérance de vie était très limitée, en témoignent par exemple les résultats observés dans les mélanomes ou les cancers broncho-pulmonaires.

Formation Spécialisée Transversale (FST) de cancérologie (déclinaison cancérologie de l'adulte) : vers un projet professionnel personnalisé robuste au service des patients

Publié le : 16/09/2020

Édito Forum des Spécialités Oncologie 2020
La réforme du 3e cycle a été mise en place dans un esprit de progrès pour répondre au mieux aux besoins de santé territoriale, assurer une modernisation des formations et simplifier le dispositif en faisant disparaître les DESC et en aboutissant à la filiarisation des 44 spécialités. Cette réforme permet de donner la possibilité à tout étudiant quelle que soit sa spécialité, de suivre une formation spécialisée transversale (FST) qui constitue une option commune à plusieurs spécialités et ouvre droit à un exercice complémentaire d’une «sur-spécialité».

Par: Eurydice EURYDICE, AIHP 2014

Les nouvelles molécules : La place de la chimiothérapie

Publié le : 01/06/2022

Il peut sembler paradoxal de consacrer un chapitre à la chimiothérapie dans les tumeurs solides car les dernières avancées thérapeutiques majeures ont été réalisées il y a de longues années. Récemment, les efforts de recherche se sont essentiellement dirigés vers les thérapeutiques ciblées et plus récemment vers l’immunothérapie avec des succès majeurs dans des localisations tumorales où l’espérance de vie était très limitée, en témoignent par exemple les résultats observés dans les mélanomes ou les cancers broncho-pulmonaires.

Innovations et nouveaux concepts en Oncologie Radiothérapie

Publié le : 01/06/2022

La radiothérapie joue un rôle majeur dans le traitement du cancer, avec la chirurgie, la chimiothérapie et les traitements systémiques. Ces vingt dernières années, la radiothérapie a vécu une véritable révolution technologique permettant à la fois d’augmenter son efficacité et d’améliorer la tolérance.

Par: Bénédicte DURAND, AIHP 2013

Innovations et nouveaux concepts en Oncologie Radiothérapie

Publié le : 01/06/2022

La radiothérapie joue un rôle majeur dans le traitement du cancer, avec la chirurgie, la chimiothérapie et les traitements systémiques. Ces vingt dernières années, la radiothérapie a vécu une véritable révolution technologique permettant à la fois d’augmenter son efficacité et d’améliorer la tolérance.

Par: Florence HUGUET, AIHP 1999

Innovations et nouveaux concepts en Oncologie Radiothérapie

Publié le : 01/06/2022

La radiothérapie joue un rôle majeur dans le traitement du cancer, avec la chirurgie, la chimiothérapie et les traitements systémiques. Ces vingt dernières années, la radiothérapie a vécu une véritable révolution technologique permettant à la fois d’augmenter son efficacité et d’améliorer la tolérance.

Innovations et nouveaux concepts en oncologie médicale

Publié le : 01/06/2022

L’innovation est l’un des atouts majeurs de l’oncologie. Mais au-delà des nouveaux traitements, le progrès englobe bien d’autres notions, tant technologiques que stratégiques qui transforme tout autant la spécialité que le font les médicaments. Nous évoquerons plusieurs concepts novateurs concernant la pratique de l’oncologie, en discutant leur impact actuel et à venir sur la spécialité.

Par: Stéphane CULINE, AIHP 1993 - PU-PH

Nouvelles hormonothérapies en oncologie

Publié le : 01/06/2022

L’hormonothérapie est une option thérapeutique particulièrement utilisée dans le cancer du sein et le cancer de la prostate. C’est dans ces deux domaines que de nouvelles hormonothérapies ont été développées avec un questionnement constant sur leur positionnement dans la stratégie thérapeutique. Dans cette revue, nous décrivons la place de ces nouvelles hormonothérapies dans la prise en charge du cancer du sein et de la prostate.

Par: Thierry ANDRé, AIHP 1988 -PU-PH

Immunothérapie dans les cancers colorectaux MSI : Un changement de paradigme !

Publié le : 01/06/2022

L’immunothérapie, par inhibiteurs de point de contrôle immunitaires (ICI), est en train de révolutionner la prise en charge des patients atteints de cancer colo-rectaux avec statut microsatellaire instable (MSI). 

Par: Jacques CADRANEL, AIHP 1983 - PU-PH

L’immunothérapie en oncologie thoracique

Publié le : 01/06/2022

L’objectif de cet article est de faire un panorama de l’utilisation de l’immunothérapie en oncologie thoracique, basé sur la médecine fondée sur les preuves, les recommandations de prise en charge thérapeutiques et l’accès aux molécules en France dans le cadre réglementaire de l’AMM et de leur remboursement. Les possibilités de sélection par les biomarqueurs et les innovations thérapeutiques en cours seront évoquées 

Par: Johanna NOEL,

Up to date – Le cancer du rein

Publié le : 18/11/2021

Le carcinome rénal représente 5 % des cancers chez l’homme et 3 % chez la femme, se classant respectivement en 6e et 10e position des cancers les plus fréquents[1]. Les principaux facteurs de risque de cancer rénal sont l’âge, le sexe masculin, le tabac, l’obésité, l’hypertension artérielle, l’insuffisance rénale chronique terminale.

Par: Stéphane OUDARD, AIHP 1988 - PU-PH

Up to date – Le cancer du rein

Publié le : 18/11/2021

Le carcinome rénal représente 5 % des cancers chez l’homme et 3 % chez la femme, se classant respectivement en 6e et 10e position des cancers les plus fréquents[1]. Les principaux facteurs de risque de cancer rénal sont l’âge, le sexe masculin, le tabac, l’obésité, l’hypertension artérielle, l’insuffisance rénale chronique terminale.

Par: Yann-Alexandre VANO, AIHP 2006

Up to date – Le cancer du rein

Publié le : 18/11/2021

Le carcinome rénal représente 5 % des cancers chez l’homme et 3 % chez la femme, se classant respectivement en 6e et 10e position des cancers les plus fréquents[1]. Les principaux facteurs de risque de cancer rénal sont l’âge, le sexe masculin, le tabac, l’obésité, l’hypertension artérielle, l’insuffisance rénale chronique terminale.

Par: Constance THIBAULT, AIHP 2008

Up to date – Le cancer du rein

Publié le : 18/11/2021

Le carcinome rénal représente 5 % des cancers chez l’homme et 3 % chez la femme, se classant respectivement en 6e et 10e position des cancers les plus fréquents[1]. Les principaux facteurs de risque de cancer rénal sont l’âge, le sexe masculin, le tabac, l’obésité, l’hypertension artérielle, l’insuffisance rénale chronique terminale.

Up to date – Le cancer du sein

Publié le : 18/02/2021

Le cancer du sein est si fréquent que chacun d’entre nous a un proche ou une amie concerné. On estime à 58 459 le nombre de nouveaux cas de cancer du sein chez la femme en France en 20181. Le cancer du sein reste le cancer le plus fréquent chez la femme (malgré une croissance majeure du cancer du poumon pourtant évitable). Avec 12 146 décès estimés en 2018, le cancer du sein est au premier rang des décès par cancer chez la femme.

Par: Catherine UZAN, AIHP 1999 - PU-PH

Up to date – Le cancer du sein

Publié le : 18/02/2021

Le cancer du sein est si fréquent que chacun d’entre nous a un proche ou une amie concerné. On estime à 58 459 le nombre de nouveaux cas de cancer du sein chez la femme en France en 20181. Le cancer du sein reste le cancer le plus fréquent chez la femme (malgré une croissance majeure du cancer du poumon pourtant évitable). Avec 12 146 décès estimés en 2018, le cancer du sein est au premier rang des décès par cancer chez la femme.

Par: Nicolas MEILLAN, AIHP 2012 - CCA

Up to date – Le cancer du sein

Publié le : 18/02/2021

Le cancer du sein est si fréquent que chacun d’entre nous a un proche ou une amie concerné. On estime à 58 459 le nombre de nouveaux cas de cancer du sein chez la femme en France en 20181. Le cancer du sein reste le cancer le plus fréquent chez la femme (malgré une croissance majeure du cancer du poumon pourtant évitable). Avec 12 146 décès estimés en 2018, le cancer du sein est au premier rang des décès par cancer chez la femme.

Par: Patrick BENUSIGLIO, AIHP

Up to date – Le cancer du sein

Publié le : 18/02/2021

Le cancer du sein est si fréquent que chacun d’entre nous a un proche ou une amie concerné. On estime à 58 459 le nombre de nouveaux cas de cancer du sein chez la femme en France en 20181. Le cancer du sein reste le cancer le plus fréquent chez la femme (malgré une croissance majeure du cancer du poumon pourtant évitable). Avec 12 146 décès estimés en 2018, le cancer du sein est au premier rang des décès par cancer chez la femme.

Par: Claire GALLOIS, AIHP 2012

Up to date – Oncologie digestive : cancer colorectal

Publié le : 20/09/2020

Selon les dernières estimations de GLOBOCAN 2018 dans le monde, le cancer colorectal (CCR) est la 3e cause de cancer en termes d’incidence après le cancer du poumon et le cancer du sein et représente la 2e cause de mortalité par cancer[1]. En France en 2018, la prévalence du CCR était de 136 513 patients, 47 025 nouveaux cas de CCR ont été diagnostiqués durant l’année, et 19 962 patients atteints d’un CCR sont décédés, représentant un problème majeur de santé publique[1]. L’âge moyen au diagnostic est 71 ans chez l’homme et 75 ans chez la femme.

Par: Yazid BELKACEMI, PU-PH

Formation Spécialisée Transversale (FST) de cancérologie (déclinaison cancérologie de l'adulte) : vers un projet professionnel personnalisé robuste au service des patients

Publié le : 16/09/2020

Édito Forum des Spécialités Oncologie 2020
La réforme du 3e cycle a été mise en place dans un esprit de progrès pour répondre au mieux aux besoins de santé territoriale, assurer une modernisation des formations et simplifier le dispositif en faisant disparaître les DESC et en aboutissant à la filiarisation des 44 spécialités. Cette réforme permet de donner la possibilité à tout étudiant quelle que soit sa spécialité, de suivre une formation spécialisée transversale (FST) qui constitue une option commune à plusieurs spécialités et ouvre droit à un exercice complémentaire d’une «sur-spécialité».

Par: Barouyr BAROUDJIAN, AIHP 2006

Up to date – Les cancers de la peau

Publié le : 16/09/2020

Le mélanome représente 4 % de l’ensemble des cancers et 10 % des cancers cutanés. Aux stades précoces, il est de bon pronostique. Le taux de survie étant de 98 % à 5 ans. Néanmoins, il est redoutable aux stades plus tardifs et représente 90 % des cas de décès par cancer cutané. Son incidence en France est croissante depuis les années 1980 avec actuellement environ 15 000 nouveaux cas chaque année en France. La mortalité est globalement stable du fait d’un dépistage de la maladie à des stades plus précoces et de l’arrivée de traitements augmentant la survie des patients aux stades avancés

Par: Julie DELYON, AIHP 2009 - MCU-PH

Up to date – Les cancers de la peau

Publié le : 16/09/2020

Le mélanome représente 4 % de l’ensemble des cancers et 10 % des cancers cutanés. Aux stades précoces, il est de bon pronostique. Le taux de survie étant de 98 % à 5 ans. Néanmoins, il est redoutable aux stades plus tardifs et représente 90 % des cas de décès par cancer cutané. Son incidence en France est croissante depuis les années 1980 avec actuellement environ 15 000 nouveaux cas chaque année en France. La mortalité est globalement stable du fait d’un dépistage de la maladie à des stades plus précoces et de l’arrivée de traitements augmentant la survie des patients aux stades avancés

Up to date – Les cancers de la peau

Publié le : 16/09/2020

Le mélanome représente 4 % de l’ensemble des cancers et 10 % des cancers cutanés. Aux stades précoces, il est de bon pronostique. Le taux de survie étant de 98 % à 5 ans. Néanmoins, il est redoutable aux stades plus tardifs et représente 90 % des cas de décès par cancer cutané. Son incidence en France est croissante depuis les années 1980 avec actuellement environ 15 000 nouveaux cas chaque année en France. La mortalité est globalement stable du fait d’un dépistage de la maladie à des stades plus précoces et de l’arrivée de traitements augmentant la survie des patients aux stades avancés

Par: Charles NALTET, AIHP 2010

Up to date – Prise en charge du cander bronchique en 2020

Publié le : 16/09/2020

Le cancer bronchique est un problème de santé mondiale. En France, il a fait plus de 30 000 victimes en 2018[1]. Si le tabagisme est le principal facteur de risque de cancer bronchique, 10 à 15 % des patients sont non-fumeurs. Malgré de nombreuses révolutions thérapeutiques, le cancer bronchique garde un pronostic sombre lié au diagnostic tardif (figure 1)[2]. Le dépistage par scanner thoracique à faible irradiation chez les fumeurs semble donc une stratégie adaptée comme l’atteste le bénéfice en survie spécifique des essais NLST et NELSON [3,4].

Par: Benjamin BESSE, AIHP 1999 - PU-PH

Up to date – Prise en charge du cander bronchique en 2020

Publié le : 16/09/2020

Le cancer bronchique est un problème de santé mondiale. En France, il a fait plus de 30 000 victimes en 2018[1]. Si le tabagisme est le principal facteur de risque de cancer bronchique, 10 à 15 % des patients sont non-fumeurs. Malgré de nombreuses révolutions thérapeutiques, le cancer bronchique garde un pronostic sombre lié au diagnostic tardif (figure 1)[2]. Le dépistage par scanner thoracique à faible irradiation chez les fumeurs semble donc une stratégie adaptée comme l’atteste le bénéfice en survie spécifique des essais NLST et NELSON [3,4].

Par: Céleste LEBBE, AIHP 1987 - PU-PH

Up to date – Les cancers de la peau

Publié le : 16/09/2020

Le mélanome représente 4 % de l’ensemble des cancers et 10 % des cancers cutanés. Aux stades précoces, il est de bon pronostique. Le taux de survie étant de 98 % à 5 ans. Néanmoins, il est redoutable aux stades plus tardifs et représente 90 % des cas de décès par cancer cutané. Son incidence en France est croissante depuis les années 1980 avec actuellement environ 15 000 nouveaux cas chaque année en France. La mortalité est globalement stable du fait d’un dépistage de la maladie à des stades plus précoces et de l’arrivée de traitements augmentant la survie des patients aux stades avancés

Par: Joseph GLIGOROV, PU-PH

Le Diplôme d'Études Spécialisées en Oncologie Médicale en Île-de-France

Publié le : 16/09/2020

Édito Forum des Spécialité Oncologie
J’imagine que ceux d’entre vous qui seront passés dans un service d’Oncologie Médicale ont déjà une opinion sur cette spécialité. Toutefois, pour tous ceux qui sont attirés par la prise en charge des cancers, il est important d’y voir un peu plus clair dans les filières de formation et comprendre l’importance de la spécialité d’Oncologie Médicale dans le paysage des formations diplomantes en cancérologie.

Par: Philippe GIRAUD, PU-PH

Une discipline en plein essor

Publié le : 16/09/2020

Édito Forum des Spécialités Oncologie 2020
Chaque année en France, 400 000 nouveaux patients sont pris en charge pour un cancer. Environ 180 000 patients sont traités par irradiation.