En cas de cancer prostatique localisé (CaP), différents traitements validés sont disponibles : prostatectomie radicale (PR), curiethérapie (BT), et radiothérapie externe (RTE). Les effets secondaires génito-urinaires et digestifs représentent un point-clé car uniquement une faible proportion de patients décèdera du CaP. Ces traitements offrent une forte probabilité de contrôle carcinologique mais avec un risque significatif d'effets secondaires selon le traitement (50 % d'impuissance, 5-10 % d'incontinence, 5-20 % de troubles digestifs). Ainsi, la surveillance active (AS) est devenue une option thérapeutique mais proposée essentiellement pour les CaP à faible risque.
Lire la suite