Le pronostic de la polyarthrite rhumatoïde (PR) a été complètement bouleversé ces trente dernières années avec l’arrivée des biothérapies et plus récemment des JAK inhibiteurs. Ces traitements agissent en ciblant les molécules inflammatoires ou les voies de signalisation intra-cellulaire impliquées dans la physiopathologie de la PR, avec comme principale contrainte une augmentation du risque infectieux.